Voici deux exemples bibliques où Dieu pose des questions :
Certains pourraient se demander : "Dieu ne savait-il pas ces choses ? S'il le savait, pourquoi l'a-t-il demandé ?"
Cette interrogation met en lumière un malentendu culturel courant à propos des questions. Nous posons généralement des questions :
Dieu savait où se trouvaient Adam et Ève. Il savait pourquoi Élie était dans la grotte. Il n'avait pas besoin de ces informations. Il a posé la question parce qu'Adam, Ève et Élie, eux, ne savaient pas qu'ils avaient besoin de cette information et qu'ils en tireraient profit.
Les questions de réflexion servent ces trois objectifs pour le client. Nous posons des questions pour que le client
Nous posons des questions qui facilitent l'exploration, la réflexion et la pensée du client. Il est possible que nous connaissions, ou non, les faits relatifs à ces questions. Cependant nous les posons non pas dans notre propre intérêt, mais dans celui du client.
Ce qui nous empêche souvent de poser des questions de réflexion utiles, c’est lorsque nous pensons que puisque nous connaissons la réponse, nous n’avons pas besoin de poser la question. Ce faisant, nous passons à côté de l'essentiel. Les informations que la question générera, nous l'espérons, ne sont pas pour nous. Elles sont destinées au client.
Article du Dr Keith Webb traduit par Jeff Kim